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Publié le par Eric Valnerbauch

J'aime les matins fauves
Où le fil d'Ariane se rompt,
Et laisse
L'homme pluriel,
La femme plurielle,
Et le monstre invincible;

Car l'unique est pluriel
et aucun n'en est le juste milieu.

Publié dans Eloge de la Rouille

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